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Le Gazon d'Aphrodite

Gerald

Nouveau poète
#1
J’ai cherché, ignorant tes charmes magiques,
Cette âme que tu caches à la vulgarité
De tes admirateurs imbéciles et bornés,
Sans jamais l’approcher, ô femme féerique !

Toi, la déesse antique, tu m’as toujours plu :
Zyeux bleus, crinière rousse, lèvres carminées,
Ton cul, pièce d’un imaginaire musée,
A rendu à Milo jalouse la Vénus.

Tu dis : le sexe est un sport de compétition !
Et tu en es l'unique star incontestée :
Tu gagnes la médaille d’or du décathlon
Pornographique sans rivale déclarée.

Ô belle Aphrodite ne te fais pas prier,
Toi qui m’a volé mon âme, resuce-moi !
Je te baiserai et t’enculerai, crois-moi,
Autant que tu voudras pour t’en remercier.

Ô que j’aime cette main qui durcit ma queue,
Et tes doigts qui sur mon gland jouent du piano :
Tu le caresses puis serres comme un étau
Pour me bien branler et mettre mes couilles en feu.

Je t’embrasse sur ta bouche pleine de foutre,
Serre-moi fort si tu veux une autre giclée,
Appuie bien ta langue sur ma queue bandée ;
Tu me branles, dans ma tête éclate la foudre.

Je laisse sur cette langue baveuse et dure
S’épanouir mon gros gland violet de luxure ;
Sers-moi encore, quelle pipe tu me fais !
Je bande à éclater et dois la mettre au frais.

« Encule-moi » cries-tu, mais tu tiens dans tes dents
Si bien mon vit que je ne peux aller derrière ;
Tu suces si fort, à genoux comme en prière,
Que tu jouis jusqu’à t’éclater en chiant.

J’aime cette odeur, mélange de merde et de sperme,
Ce parfum sublime que tu fabriques sur ton épiderme ;
Enfonce tes ongles dans ma couille magique,
Et avale mon chaud sperme comme un viatique.

Sur tes lèvres blanches le sperme luit et glisse ;
Tu salives et, plaisir sublime, ta pisse,
Jet chaud fort et tourbillonnant, sur ma main gicle.
Ô reine des pipeuses viens que je te trique !

Tu laves ton trou du cul avec application
Pour enlever de ta raie, des poils de ton con,
Cette longue et large trace de chocolat noir
Que je lisse de ma langue comme un miroir.

Allongée sur le lit tu fais le grand écart,
Ta fente a des lèvres roses comme du lard,
Et ma dure langue mélange comme dans un broc
Mouille et pisse dans ton vagin qui fait flic-floc.

Pour que ma langue fouille ton con et ton cul,
Tes mains écartent tes fesses : je suis en rut !
Tandis que je mords dans ton con à pleine bouche,
Ta bouche goulue reprend cette queue farouche.

Mes doigts enfoncés dans tous tes trous haut et bas
Vont et viennent sur la cadence que battent
Tes deux gros nichons que je lape comme un chat
Sans oser mettre les dents de peur qu’ils éclatent.

Quand une main ouvre ton anus plein de miel,
Je glisse dans ton con l’autre main impatiente
De tirer sous ton pubis, action pertinente,
Ton clitoris dressé comme une sentinelle.

Camouflé sous ton divin gazon, Aphrodite,
J’aime ton con poilu ourlé de cette mouille
Dont tu m’enduis le visage, crème gratuite,
Quand, dans ton cul ouvert, ma pine va et fouille.

Dos cambré tu es sur les genoux en levrette,
Alors je lèche sur tes reins cette fossette,
La main dans ta raie tirant sur tes poils dorés,
Et tes deux doigts dans mon cul si loin enfoncés.

Sur tes seins gonflés je me remets à bander ;
Et pour mieux en avoir, branlant à la casser,
Tu tapes ma bitte comme sur une enclume,
Suppliant que je te baise et que je t’encule !

Oui je te baise et t’encule avec la cadence
Que donnent tes halètements de jouissance
Et les pets que ton bel anus laisse échapper
Sous les coups de ma queue qui n’en peut plus d’aller.

Facile à pénétrer, dans ton vagin humide
Je m’enfile comme dans ta bouche sans forcer ;
Ton anus serré qu’on n’ouvre qu’avec de l’huile
M’implore d’aller vite pour te défoncer.

Tu m’y retiens et je force pour en sortir :
De merde à foutre d’un trou à l’autre je vais,
Et quand dans ta bouche ouverte mes doigts je mets,
Vampire, tu mords pour faire mon sang jaillir !

« Tant que j’aurais une grosse bitte à pousser
Soit dans ma bouche soit dans mon con ou mon cul,
Déclares-tu à tes admirateurs velus,
Aux côtés des dieux à jamais je trônerai. »

Tu demandes à genoux que ma queue dressée
De foutre puisse encore ta bouche remplir,
Car enculade et baise ne te font jouir
Comme de cette autre façon le sperme avaler.

Je veux bien à cette pratique revenir :
Etre sucé et branlé procure un plaisir
Toujours nouveau par ces imprévues vibrations
De ta bouche et ta main riches d’improvisations.

C. Gérald
 

iboujo

Maître Poète
#2
Un texte que dis je ...du papier toilette
..honteux de poster aux yeux de tous et des plus petits vous le signale
y pensez vous..Honte à vous
Pouvez vous SUPRIMER svp ..INTOLERABLE
 

lilasys

Maître Poète
#3
franchement ,,bien bas ,,exprimer ,,sur un site poétique des fantasmes ,,qui rabaisse la femme ,à objet ,,vous ne savez pas parler d'amour ,,,ceci n'est point érotique mais plutot ,,sado mazo,,,,,,,oui suivez ,un conseil ,,retirez ce torchon ,,GERARD MERCI
 

melya

Nouveau poète
#4
Je n'aime pas du tout! C'est plus vulgaire qu'autre chose, lola vraie a raison, vous nous traité en objet!! Ce n'est pas erotique mais plus pornographique, c'est affreux et degoutant, enlevez ce torchon du site s'il vous plait!!!
 

yoyo24

Nouveau poète
#5
Il y a rien a dire, c'est cru, moche... Votre titre :
"Le Gazon d'Aphrodite" révèle déjà une vulgarité avant même de commencé a lire..
J'ai envie de dire avez-vous honte ?! Mais la réponse est simple vous aimez choqué,.., sinon à quoi bon posté sa ?!
Suivez le conseil des filles, retirez le..."